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Most of the Batwa community depends on cheap labour for survival. But the lockdown as a measure to contain the spread of COVID-19 prevented people from leaving their homes to look for work, and businesses that would normally require their labour are also shut down. 

La mayor parte de la comunidad Batwa depende de la mano de obra barata para sobrevivir. Pero el confinamiento como medida para contener la propagación de la COVID-19 impidió que la gente saliera de sus casas para buscar trabajo, y los negocios que normalmente requerirían su mano de obra también están cerrados. 

La plupart des Batwa dépendent d’une main-d’oeuvre bon marché pour survivre. Mais la mesure de confinement pour contenir la propagation de la COVID-19 a empêché les gens de sortir de chez eux pour trouver du travail, et les entreprises qui auraient normalement besoin de leur main-d’oeuvre sont également fermées. 

For The Indigenous World 2009, IWGIA's Yearbook. Published April 2009.

The impact of (forest) nature conservation on indigenous peoples: the Batwa of south-western Uganda. A case study of the Mgahinga and Bwindi Impenetrable Forest Conservation Trust.This study analyses the conflicts between wildlife and nature conversation and indigenous Batwa peoples in the Mgahinga and Bwindi National Parks, Uganda. Under its Global Environment Facility (GEF), the World Bank granted US $4.3 million in May 1991 to establish a trust fund in Uganda.

L’impact des mesures de conservation de la nature (de la forêt) sur des populations autochtones Les Batwa du sud-ouest de l’Ouganda.Étude de cas du « Mgahinga and Bwindi Impenetrable Forest Conservation Trust »La présente étude est consacrée à une analyse des conflits entre la conservation de la nature et de la faune sauvage et les populations autochtones Batwa1 des Parcs nationaux de Mgahinga et Bwindi, en Ouganda.Dans le cadre de son Fonds pour l’environnement mondial (FEM), la Banque mondiale octroya 4,3 millions de dollars US en mai 1991 pour l’établissement