Recursos

Au Cameroun, des communautés autochtones Bagyeli saisissent les Nations Unies et les juridictions nationales pour sauver leurs forêts, en voie d’être cédée par l’Etat à l’agro-industrie Biopalm.

Au cours des dernières années, l’État camerounais a négocié des accords d’accès et d’utilisation, communément appelés « Memoranda of Understanding » (MoU), avec les communautés Baka touchées par différentes aires protégées.

Les 23 et 24 juillet, sous le couvert de la forêt communautaire Nomedjo à Lomié, la plateforme Gbabandi s'est réunie pour sa deuxième Assemblée Générale. Gbabandi comprend actuellement huit organisations autochtones, et plus de 100 Baka et Bagyeli ont participés à cette réunion de deux jours, venant de différentes régions forestières du Cameroun.

Sous la menace de l’accaparement de la société agro-industrielle Biopalm, des femmes autochtones Bagyeli du département de l’Océan disent non à la production du palmier à huile dans leurs forêts.

Un miembro de una de las comunidades Baka de la zona de Ngoyla Mintom de Camerún, habla de ser expulsado ​​de su bosque ancestral y de los problemas a los que se enfrenta su pueblo a diario a por la falta de derechos territoriales y la falta de acceso a alimentos, medicinas y educación.

Un membre d'une des communautés baka du Cameroun dans la région de Ngoyla Mintom, parle d'être chassé de ses forêts ancestrales et des problèmes auxquels son peuple est confronté quotidiennement, à cause du manque de droits fonciers et du manque d'accès à la nourriture, médecine et éducation.

Arman Melinga est né dans le village de Bosquet avant de déménager à Assoumindelé pour vivre avec la famille de sa femme. Il dit que la communauté Baka d’Assoumindelé n’a pas été correctement informée au sujet de la forêt communautaire et des conséquences de sa création. Il explique qu’ils se sentent trahis.

Arman Melinga nació en la aldea cercana de Bosquet pero se trasladó a Assoumindelé para vivir con la familia de su esposa. Dice que los baka de Assoumindelé no fueron informados adecuadamente acerca del bosque comunitario, ni lo que significaría. Él explica cómo se sienten engañados.

Michel Mbengo a déménagé à Assoumindelé 2 en 2011, lorsqu’il s’est marié. Il dit qu’il utilise la petite parcelle de terre qu’on lui a donnée comme « forêt communautaire »   pour vendre du bois, mais il voudrait pouvoir mener d’autres activités. Il explique ainsi :

Michel Mbengo se trasladó a Assoumindelé 2 en 2011 por razones de matrimonio. Dice que la pequeña parcela de tierra que se les ha otorgado como bosque comunitario es para vender madera, pero les gustaría poder hacer más. Él explica:

Un groupe de peoples autochtones de Cameroun a lancé une D

Un grupo de pueblos indígenas en Camerún ha emitido una declaración en la que exigen el respeto de sus derechos de tenencia consuetudinarios.

Des femmes venant d’un village du sud-est du Cameroun expriment qu’elles n’auront pas d’accès facile à la terre qui a été allouée à leur communauté en compensation partielle du territoire qui leur a été confisqué par une réserve naturelle.

Las mujeres de una aldea situada en el sudeste de Camerún dicen que no contarán con el acceso fácil a una parcela de tierra asignada a su comunidad como parte de una compensación por la pérdida de tierras adjudicadas a una reserva nacional.

Suzanne Ndjele, une Baka du village d’Assoumindelé, au sud du Cameroun, est l’un des nombreux Baka qui a le sentiment que sa vie a changé depuis qu’on les empêche de pénétrer dans la forêt qu’ils considèrent comme leur terre depuis leur naissance.

Suzanne Ndjele, una mujer baka de la aldea de Assoumindelé, al sur de Camerún, es una de los muchos baka que sienten que la vida ha cambiado desde que se les impidió el acceso al bosque que han considerado su tierra desde su nacimiento.